fabricefolcherdelahutte

l'o c cool l'r 2 rien

Mardi 28 février 2012 à 8:59

La douche du passereau
Exigus propos apostrophant au chant du cygne noir le comique troupier joueur de balle sous les pluies de houblon il s'endort souriant puis l'aurore s'élevant les mots raisonnent sur des photos de prêcheurs naviguant en des boues irradiées sur fonds bleus ils sourient le tableau sonne fort la jouissance des convives gratifié au pourtour de la tarte ah la crème de tartare écoeurant les puissants animaux ils observent le spectacle riche de prouesses intellectuelles définissant les rouages des transferts de charges liés au temps virtuel aliénant les Hommes forts sachant se battre et escalader la pyramide de conserves en équilibre sur une planche vermoulue valorisée d'un vernis et dégustent en silence les richesses intemporelles des lumières énergies finies d'un domaine protégé d'un combat ayant pour seule fin l'humiliation
l'o c cool l'r 2 rien


http://fabricefolcherdelahutte.cowblog.fr/images/P1010982.jpg


Dimanche 26 février 2012 à 7:41

http://fabricefolcherdelahutte.cowblog.fr/images/15122012d.jpgIl pleuvait?
Où as tu mis la pluie?
Enterrée sur le toit!
L'hiver s'éteint, Je nage
Dans la lumière du temps...
L'éclosion d'un espace
Autour d'un mat porteur
De voiles gonflées D'allant
Souligne mon sourire!
Où as tu mis la pluie?
Au delà du printemps,
Elle réapparaîtra,
La vie, ses cris... Je nage!
 

Jeudi 23 février 2012 à 20:58


http://fabricefolcherdelahutte.cowblog.fr/images/P1010854.jpg
Sucrerie

Une danse sur fond blanc
Au vu d'un poirier
Exposer dans le chant
D'une abeille surfant
Sur des feuilles à rayures...
l'accent d'un contretemps
Illumine l'espace
D'un bleuet noir.
Sur la plage, elle se pose
Et le bois noble encadre
Le parquet d'un domaine
Où le pollen bronze...
Mais le caramel dans la poêle?
Il fredonne alors dansons...
 
 

Jeudi 23 février 2012 à 3:43

http://fabricefolcherdelahutte.cowblog.fr/images/laroute2.jpgLe réveil sonne

Un crissement de verre sur le temps!
Le soleil imperturbable ondule:
Minimes soubresauts du coeur,
le champ énergétique croît,
Je souris et les étoiles pleurent...
La chaleur s'intensifie,
Les pluies s'estompent,
Le terreau s'assèche...
Je souris mais les cris,
Le verre sur le temps,
Bourdonnent dans les feuilles,
Le vent invisible fredonne
La fureur du feu...
Je souris sous la treille
Face au met ravissant
Agrémentant l'espace
Réel mais illusoire...
Et la musique silencieuse,
L'alarme du grand Roi,
M'indiffère, je souris,
Et oublie le son du vivant...




Dimanche 19 février 2012 à 14:09

Stop! regarde

Une cacahuète sur la tête
Un parapluie au soleil
Et des bottes de pécheur
Posées sur les genoux

Je frissonne écris
Je fredonne l'envie
Deux sourires postés
Aux bouffons scandant
L'alibilité de leur argument

Pauvres orateurs
A la hauteur
Des spectateurs

Je m'intègre sur terre
Et fonds de plaisir
A savourer le temps

Un banc face à la mer
Une voile à l'horizon
Un verre de lumière
Un soir sous les étoiles
Je vous embrasse

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast