Manipulateur
Vulgaire
Insolent
Dévoilé
Lâche
Plombe
Puis
Agrémente
L’élégance
Du tableau sur lequel je file mon chemin
Je souris aux ombres et me dore de lumières
fabricefolcherdelahutte
l'o c cool l'r 2 rien
Jeudi 15 novembre 2012 à 9:10
dans les étangs suaves
les perches culturées
décryptent l'insondable
illusion de vainqueur
aux vents
le rythme c imposé
aux détriment du mot
et sur un monde passé
je pleure
les enfants au présent
vivent sur le flot
un flux tendue de vie
et dansent sur l'asphaltent
je lime le fond d mon jean
sur un un cuir à roulette
pour écrire l'improbable
équivalence des djinns
Je pleure, je bois, je meurs
les perches culturées
décryptent l'insondable
illusion de vainqueur
aux vents
le rythme c imposé
aux détriment du mot
et sur un monde passé
je pleure
les enfants au présent
vivent sur le flot
un flux tendue de vie
et dansent sur l'asphaltent
je lime le fond d mon jean
sur un un cuir à roulette
pour écrire l'improbable
équivalence des djinns
Je pleure, je bois, je meurs
Mercredi 14 novembre 2012 à 8:53
C’est droit
Mais dans l’angle
Des vies blanches des seins
Les amants se baisent les pieds
Voilent les passions
S’éclatent le fion
Rime pauvre
S’enrichissent sous
Les spots de dieux morts
Lundi 12 novembre 2012 à 7:52
Dimanche 11 novembre 2012 à 18:38
Joyaux
Chute de nuit l’horizon s’anoblit de rouge sang bleu sombre orangé mûr l’élégance du trait indéfini émeut éveille l’imaginaire des heures de voyage au travers des roches où les eaux se faufilent érodent l’impertinence des éponges supplantées de tambourins de troubadours de petites mains d’artisans tissant la trame des vies s’expatrie le vulgaire tube de feu et la mort sur la ligne un diamant sous la lune conclue l’existence en fête