Un caramel sur la plage
Un œil sur l’horizon
Les pieds encrés en l’air
Du temps aux bouts des doigts
J’affiche le gréement
D’un voilier de bois tendre
Sur un mur infini
D’une main singulière
Je te dévoile l’aire
De mon volume hanté
De sels d’épices d’iles
Où l’on peut dénudés
Voyager et s’extraire
D’un monde multicolore
Un éclair puis un Do
Voilé d’un trait de plume
Expose un crescendo
Le voile d’un éclat d’eau
Les nuances d’un thème
Les silences explicites
Vécu tels des diamants
Deux sucres anoblis
D’un jeu de mains suaves
Source d’un feu chantant
Redorant sur le sable
La nuit de corps amants
S’écoulant sous l’étoile
Existes tu je meurs
Lentement