fabricefolcherdelahutte

l'o c cool l'r 2 rien

Dimanche 8 janvier 2012 à 8:38

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Vivons

 

A la lumière du dieu soleil

Surgit à tes pieds l’éclat

D’un rien d’infini rêves brûlés

Par l’immédiateté du virtuel

 

Disjonction des tensions constructrices

De murs bâtis au pourtour

De ton corps libre ? Voyageant

Vers d’impossibles pensées promues

 

Impose au monde ton être

Dans un silence accueillant

Pas à pas immobile souple

     Ton équilibre s’impose sans peine

Samedi 7 janvier 2012 à 6:46

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Vieux

 

Face à vous ingénieux architectes
Dieux vivants de mythes ancestraux
Se déploient des nuées d’acrobates
Triples sots arrosés d'or sans O
Petits pois cultivés dans les mots
Se détisse alors votre histoire

Vendredi 6 janvier 2012 à 10:06


Une vallée

 

Rouge sous les pins rectangulaires,

Base d’une pyramide stable,

A trois lieux d’un noyer solitaire,

L’acropole rugit sa misère…

Un trait d’eau adoucit l’anicroche.

En un vol, le héron chasse

Au-delà l’énergie éphémère.

Un bourdon introduit l’atmosphère,

Douce mélodie pimentée.


Mercredi 4 janvier 2012 à 7:43

Solitude imposée

 

Tu es lasse, là, face à l’écran.

Je suis là, face à toi, à cran.

Tu n’es rien d’autre qu’un personnage,

La virtualité, des poissons nagent…

 

Dans une mer, de longs abysses enterrent

Ton être court par illogisme vers

Un nouveau vif, un nouveau monde

Rien d’autre que rien, tu le fondes

 

Ils sont bien seuls, tous comme toi, inexistants,

N’existant que par le reflet inexistant.

Alors parfois tu apparais là, face à lui,

Méli mélo, réel, irréel, une lumière luit.

 

Une découverte surprenante de ton toi :

Comment accepter d’être celle qu’il me renvoie ?

La peur, la fuite, l’isolement de l’écran.

Tu es modern  junkie, je prie pour ton cran

Mardi 3 janvier 2012 à 4:53

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En attendant

 

Le temps se pose,

S’impose sans regret…

L’univers, d’un geste,

Sublime le silence…

 

Les peupliers, Un reflet,

Ondulent sur l’océan ;

Une vallée peu prononcée

Au travers d’un verre : lumière !

 

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